L'art de vivre à la Française

Auteur/autrice : Nicolas Chotard Page 1 of 23

Dans le dernier bulletin de la Revue du Souvenir de la Chouannerie du Maine, Xavier de la Broïse a fait le compte rendu de la journée dédiée à son aïeul Michel Georges de la Broïse (1794-1871), chouan et député Légitimiste de la Mayenne.

Extrait de son article consacré à la création des Tissus d’Avesnières par Henri de la Broïse, son fils (1835-1902).

La manufacture sera rachetée en 1917 par la famille Feinte venue d’Armentières dans le Nord connaissant les menaces des affres de la Première Guerre Mondiale.

Lundi 14 Juillet 2025

Renseignements et inscriptions : Charles-Eric Rousseau, président

rousseaulaplace@orange.fr / Tél. : 06 72 13 82 74

PAF : 28 € (avec déjeuner) / 6 € (sans déjeuner)

Le Conseil de Paris a décidé d’apposer une plaque commémorative en l’église de la Madeleine afin de rendre hommage à la mémoire de Marie-Amélie Daoût (1921-2020), modèle de générosité.

Elle avait fait un legs de 5,3 millions d’euros à la Ville de Paris destiné à la restauration de l’église, un lieu cher à son coeur où elle retrouvait son mari, garde du corps du Général De Gaulle, lors de ses pauses déjeuner. Son don représente un peu plus d’un quart des 20 millions d’euros nécessaires à la restauration.

Présentation de l’église de la Madeleine

(Extrait du site de la Ville de Paris)

Si Louis XV pose la première pierre de l’église de la Madeleine en 1764 – le projet est alors de bâtir une église classique en forme de croix latine surmontée d’un dôme modeste –, la Révolution interrompt sa construction. On envisage d’en faire une bibliothèque, un opéra, un marché pour les artisans… Napoléon en décide autrement : il souhaite que l’édifice soit dédié à sa Grande Armée. Les travaux reprennent donc en 1806 sous la direction de l’architecte Pierre Vignon, qui donnera à ce « temple de la Gloire » la forme d’un temple antique corinthien avec des proportions majestueuses.
Mais les difficultés financières, dues aux coûteuses campagnes militaires, retardent les opérations… Napoléon se demande si cet ouvrage ne devrait pas redevenir une église ! De fait, la restauration, sans changer l’architecture générale, lui redonne sa vocation initiale. Le chantier se poursuit et la Madeleine est enfin consacrée en 1842, quatre-vingts ans après la pose de la première pierre !
Au cours de son inauguration, le roi Louis Philippe Ier cède l’église à la Ville de Paris.

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