Le 25 janvier, le film Vaincre ou mourir sortait au cinéma dans seulement 188 salles (quand on déroule le tapis rouge aux blockbusters américains dans 760 salles en moyenne accompagnés souvent d'une couverture médiatique bienveillante). Malgré cet handicap, dès la première semaine l’objectif des 100 000 spectateurs était atteint, les salles étaient pleines, certains faisant 200 km pour aller voir le film n’écoutant que leur courage et faisant fi des volées de bois vert de nos Fouquier-Tinville :
« Si les guerres de Vendée m’étaient contées avec des lunettes de chouan et de gros sabots... le résultat est si mauvais que même les royalistes détesteront. À fuir au galop ! » (Télérama)
« À la vue de Vaincre ou mourir, on espérerait presque que l’enfer existe réellement pour y voir ses responsables prosélytes et réactionnaires y brûler avec délectation. » (Ecran large)
« Une bouillie audiovisuelle qui égrène tous les poncifs les plus éculés du film historique, remuant son imagerie christique et viriliste à coups d’effets visuels d’un autre âge. » (Le Monde).
« Un étrange objet à thèse tout entier engagé dans la défense du ‘c’était mieux avant’ (quand la France était une monarchie catholique), voulant tour à tour nous faire croire qu’il est un film et un docu-fiction soucieux de véracité historique. » (Libération)
Dieu merci, la presse libre, quant à elle, ne jugea pas l’œuvre cinématographique à travers le prisme de l’idéologie révolutionnaire mais bien selon la vérité historique :
« Vaincre ou mourir arrive malgré tout à faire entendre un très beau discours sur le courage et la foi des combattants vendéens, portés par une cause juste et arborant fièrement le Sacré-Cœur. Une scène au milieu du film, très violente, montre les massacres perpétrés par les troupes républicaines sur les Vendéens. C’est d’ailleurs pour cette audace qu’il est important de soutenir une telle œuvre, en dépit de ses défauts, afin d’assurer au Puy du Fou les moyens de sortir d’autres films de cette trempe, avec plus de moyens et d’ambition artistique. » (France catholique)
« Quel est le crime commis par les auteurs et producteurs de Vaincre ou mourir ? Ils font découvrir au grand public l’histoire occultée des guerres de Vendée. Une histoire occultée par plus de 200 ans de « roman national » républicain. Une histoire transmise patiemment par les témoins et leurs descendants, par les historiens locaux, par les associations luttant contre le mémoricide perpétré par les héritiers politiques et intellectuels des « grands ancêtres » républicains, auteurs du génocide de la Vendée. Ce film ouvre une large brèche dans le mur du silence. Puisse le public s’approprier cette histoire, celle des héros et des martyrs de la Grande Armée catholique et royale, et comprendre que tous nos maux, y compris nos maux les plus immédiats, proviennent de la très peu glorieuse Révolution. » (Chiré) « Qu’avons-nous entendu parmi les critiques ! Film d’extrême droite, intégriste, réactionnaire, antirépublicain (horresco referens), haineux et idéologique. La France moisie, le fond du croupissement de l’eau pourrie du bénitier. La critique acharnée de Libération ajoute tellement d’acide au vinaigre sur de la méchanceté qu’elle passe pour être drôle… Ce film, sans grand budget, sans promotion massive, est un bon divertissement et une belle propagande. Pendant une partie du film, quelque chose pourtant semblait clocher : pas de folles dingues hystériques misandres, d’hommes-sojas en salopette, de noirs transsexuels unijambistes et de non-binaires interlopes folâtres. Au contraire, les femmes sont aussi élégantes et belles que viriles et guerrières ; les gaillards de la Vendée, courageux et costauds, ont les orchidées bien en place. » (La Nef) https://lanef.net/2023/02/08/vaincre-ou-mourir-les-blancs-sur-grand-ecran/
En vous souhaitant une bonne entrée en Carême et une bonne séance de cinéma.
Nicolas Chotard,
Président des Lys de France.
Trésorier de la Chouannerie du Maine.
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